2006
La Fondation
La création de MWE-Lab porte le souffle de l’éthique au travail et l’idée d’une union entre le corps, le cerveau et les relations.
Sylvain Lonchay fait le voeux de promouvoir cette finalité d’union entre le corps et l'Esprit pour une nouvelle notion d’efficience au travail et de confort dans la vie quotidienne.
2011
La Mission
La formation et l'accompagnement sont les axes principaux de MWE-Lab. Promouvoir et renforcer les liens au niveau individuel comme au niveau collectif.
Dès lors, des organisations bénéficient de cette vision, chacune à son rythme: CICR à Genève, des banques privées, les cadres et entrepreneurs à IMD Lausanne…
2025
L’Expansion
Le langage des neurosciences permet de percevoir les bénéfices de la pleine présence et la pleine conscience avec le support d’études, d’articles, de recherches et d’expériences positives. Ils démontrent maintenant comment maximiser nos compétences, nos liens, nos échanges tout en étant ancrés dans le moment présent et en éradiquant les obstacles.
Mwe-Lab en réponse à
La crise du sens au travail : recherche croissante de purpose et bien-être
La transformation digitale nécessitant plus de collaboration et intelligence collective
Le temps Post-COVID: réinvention des modèles de travail et management
Les bases de MWE ?
Notre travail se caractérise par
Une base neuroscientifique : sur les recherches du Dr Daniel Siegel (UCLA - Mindsight Institute) et Dr T Swart Neuroscience (MIT)
Une approche holistique : intégration de 4 dimensions énergétiques (mentale, émotionnelle, physique, spirituelle)
Une méthode validée par Illumine Knowledge Resources
- Par la recherche académique, les résultats renforcent un monde où l'alignement intérieur et l'intelligence collective guident la stratégie, les relations et l'action.
- Mwe-Lab est la seule méthode validée massivement et adaptée en Europe
- Notre expertise est unique sur le marché
- Transformation mesurable dès les premiers mois
- Autonomisation: Nous formons vos relais internes « Change Coaches »

MWE- Lab Engagement
“Les plus grands sages de l’histoire ont identifié les clés du bonheur et de la performance. Nous vous entraînons simplement à en faire votre mode de vie naturel.”
Notre engagement est
- Respectueux : avec des traditions honorées également
- Flexible : chacun peut se reconnaître dans une approche
- Révolutionnaire : et innovant, soyez dedans ou regardez le train passer
- Pratique : application immédiate sans dogme
Support Spirituel
Les principes de spiritualité laïque orientent nos actions dans la pluralité qui s’impose. Voici quelques unes de nos sources d’inspiration et de nos supports

Swami Vedanishthananda
Moine - Centre Védantique GenèveSwami Vedanishthananda est un moine de l’Ordre de Ramakrishna, également connu sous le nom de Ramakrishna Math et Ramakrishna Mission.
Il a rejoint la vie monastique au siège de l’Ordre de Ramakrishna à Belur Math en 2000 et a été ordonné aux vœux de sannyasa – les vœux définitifs de renoncement et de service – en 2010.
Il a participé aux actions de secours et de réhabilitation lors du tremblement de terre du Gujarat, dans le cadre de la Ramakrishna Mission. Il a ensuite exercé les fonctions de responsable du département d’éducation aux valeurs du Shri Ramakrishna Ashrama à Rajkot, dans le Gujarat, où il a mené des programmes de développement personnel pour les étudiants, les jeunes et les citoyens.
Il a également été directeur du Swami Vivekananda College, l’institution éducative de la Ramakrishna Mission aux Fidji, puis Acharya (enseignant résident) au centre de formation des brahmacharins et novices à Belur Math.
Il est actuellement responsable spirituel et directeur du Centre Védantique (Vedanta Centre) de Genève, en Suisse.
Il a rejoint la vie monastique au siège de l’Ordre de Ramakrishna à Belur Math en 2000 et a été ordonné aux vœux de sannyasa – les vœux définitifs de renoncement et de service – en 2010.
Il a participé aux actions de secours et de réhabilitation lors du tremblement de terre du Gujarat, dans le cadre de la Ramakrishna Mission. Il a ensuite exercé les fonctions de responsable du département d’éducation aux valeurs du Shri Ramakrishna Ashrama à Rajkot, dans le Gujarat, où il a mené des programmes de développement personnel pour les étudiants, les jeunes et les citoyens.
Il a également été directeur du Swami Vivekananda College, l’institution éducative de la Ramakrishna Mission aux Fidji, puis Acharya (enseignant résident) au centre de formation des brahmacharins et novices à Belur Math.
Il est actuellement responsable spirituel et directeur du Centre Védantique (Vedanta Centre) de Genève, en Suisse.

Jiddu Krishnamurti
Penseur (1895–1986)Il fut un philosophe, enseignant et penseur radical de la liberté intérieure, dont l’œuvre a profondément influencé le monde de l’éducation, de la psychologie et de la conscience humaine.
Initialement pressenti pour devenir le “nouveau messie” par la Société Théosophique, il rejette très tôt toute autorité spirituelle, proclamant que “la vérité est un pays sans chemin”.
À travers ses écrits, dialogues et conférences dans le monde entier, Krishnamurti a invité chacun à une transformation profonde par l’observation directe, la lucidité sans jugement, et l’abandon total des conditionnements.
Refusant toute forme de dogme, il plaide pour une révolution intérieure comme seul levier réel de changement collectif. Son influence traverse les frontières culturelles, touchant aussi bien scientifiques que pédagogues, chercheurs spirituels ou leaders soucieux d’authenticité.
Inspiration philosophique
Rousseau nous enseigne que l’être humain naît bon et que son épanouissement véritable passe par le service de la volonté générale plutôt que par l’intérêt particulier.
Kant établit que l’action éthique consiste à agir selon des maximes qui pourraient devenir des lois universelles, plaçant le respect de l’humanité en chaque personne au cœur de nos décisions.
Adam Smith, souvent réduit à tort à la “main invisible”, démontre dans sa “Théorie des sentiments moraux” que la prospérité économique repose sur notre capacité naturelle à l’empathie et à la sympathie mutuelle. Ces trois géants des Lumières pointent vers la même révélation : nous nous accomplissons individuellement en servant collectivement.
Kant établit que l’action éthique consiste à agir selon des maximes qui pourraient devenir des lois universelles, plaçant le respect de l’humanité en chaque personne au cœur de nos décisions.
Adam Smith, souvent réduit à tort à la “main invisible”, démontre dans sa “Théorie des sentiments moraux” que la prospérité économique repose sur notre capacité naturelle à l’empathie et à la sympathie mutuelle. Ces trois géants des Lumières pointent vers la même révélation : nous nous accomplissons individuellement en servant collectivement.
MWE-Lab transforme cette sagesse philosophique en pratiques comportementales concrètes, permettant aux dirigeants et équipes de découvrir par l’expérience ce que ces penseurs avaient compris par la raison : que le service désintéressé n’est pas un sacrifice, mais la voie royale vers l’excellence personnelle et organisationnelle. Étrangement, c’est tellement d’actualité…

Rousseau
Siècle des LumièresLa philosophie politique de Rousseau est bâtie autour de l'idée que l'Homme est naturellement bon et que la société le corrompt. Par « naturellement bon », Rousseau entend que l'être humain à l'état de nature a peu de désirs, de sorte qu'il est plus farouche que méchant. Ce sont les interactions avec les autres individus qui rendent les êtres humains « méchants » et conduisent à l'accroissement des inégalités. Pour retrouver une bonté naturelle, l'homme doit avoir recours à l'artifice du contrat social et être gouverné par des lois découlant de la volonté générale exprimée par le peuple. Pour Rousseau, contrairement à ce que pense par exemple Diderot, la volonté générale n'est pas universelle, elle est propre à un État, à un corps politique particulier. Rousseau est le premier à conférer la souveraineté au peuple. En cela, on peut dire que c'est un des penseurs de la démocratie (et notamment de la démocratie directe), même s'il est favorable à ce qu'il nomme l'aristocratie élective ou le gouvernement tempéré dans le domaine du pouvoir exécutif. (Wikipedia)

Kant
Siècle des LumièresLes grandes branches de la philosophie kantienne sont les suivantes :
philosophie de la connaissance (développée surtout dans la Critique de la raison pure), philosophie pratique (exposée dans la Critique de la raison pratique et les Fondements de la métaphysique des mœurs) et esthétique (dans la Critique de la faculté de juger).
- La philosophie de la connaissance a pour but de répondre à la question « que puis-je savoir ? ». Elle ne tente donc pas de connaître un objet particulier, comme la nature pour la physique ou le vivant pour la biologie, mais de limiter et de déterminer la portée de nos facultés de connaissance ou pouvoirs de connaître, c’est-à-dire de l'intuition sensible, de l'entendement et de la raison en langage kantien. L'ouvrage principal à ce sujet est la Critique de la raison pure.
- La philosophie pratique veut répondre à la question « que dois-je faire ? », et elle comporte aussi bien la philosophie morale que la philosophie du droit et la philosophie politique. La philosophie pratique s’intéresse aussi à la question « que puis-je espérer ? ». Elle montre que les idées transcendantales, bien qu'elles ne puissent pas devenir objets de notre connaissance, doivent être postulées pour permettre la moralité et l'espérance. La connaissance doit ainsi être limitée par la raison elle-même afin de faire place à la croyance. (Wikipedia)

Smith
Siècle des LumièresSmith s’interroge sur l’origine de la capacité qu’ont les individus de porter des jugements moraux sur les autres mais aussi sur leur propre attitude. Smith commence par affirmer, contre les théories de l'égoïsme et de l'intérêt, le caractère désintéressé de certains de nos jugements. Selon lui, chacun de nous a en lui-même un « homme intérieur », capable de se placer à distance de ses propres passions et intérêts, afin de se constituer en « observateur impartial » de soi-même, capable de témoigner son approbation ou sa désapprobation morale à l'égard de ses propres actes, et dont nous ne pouvons ignorer le jugement. Les lecteurs de Freud voient dans cette thèse une anticipation du concept de surmoi (lequel est pourtant une instance inconsciente).Dans la Théorie des sentiments moraux, la sympathie au sens d’empathie, de capacité de comprendre un autre en se mettant en quelque sorte à sa place, occupe une place centrale. Pour Smith, l’homme dans ses actions doit tenir compte du point de vue des spectateurs réels ou du spectateur impartial, dans le cadre d’un double processus de sympathie. D’une part, les spectateurs s’identifient à l’acteur et arrivent à comprendre les motifs de son action ; d’autre part, l’acteur s’identifie aux spectateurs qui le contemplent et perçoit leurs sentiments à son égard. Il résulte de ce double processus de décentrement « un champ de connaissances communes à l’acteur et aux spectateurs qui engendrent l’ensemble du système des règles (dont celles de justice) qui permettent la maîtrise des passions »
Collaborations & Sources d’inspiration
Notre gratitude vers

La Recherche de fond
Srinivas Venkatram
Srinivas Venkatram est un penseur et entrepreneur indien, fondateur d’Illumine Knowledge Resources, spécialisé dans les transformations cognitives à grande échelle. Inspiré par la philosophie du Vedanta pratique de Swami Vivekananda, il conçoit des outils et programmes permettant à des individus et organisations de passer d’une posture passive à une conscience active et responsabilisante.
À travers ses méthodes de modélisation de la connaissance, de mesure cognitive et de design d’engagement, il a accompagné des millions de personnes dans des entreprises, universités et services publics en Inde.
Son approche allie rigueur scientifique, transformation intérieure et impact collectif mesurable.
Srinivas is the Founder-CEO and Lead Researcher of Illumine Knowledge Resources.Prior to Illumine he co-founded and co-led INFAC – a company that pioneered the production of industry reports (1989-96).Srinivas is an alumnus of IIT Bombay (1987), and IIM Ahmedabad (1989).
Began his career in 1989 as a knowledge entrepreneur
In 1996, he set up Illumine in the form of a design and action research lab
From 2004 to 2010, experimented with how knowledge can be used as a catalyst for creating sustainable growth/evolution in human systems
2010 - 2017, worked on various large-scale assimilation & change projects in both business and educational contexts
Since 2017, Srinivas has also been engaged in reflecting on the extensive learnings of this period, organizing and systematizing his work into a form that is more widely accessible.
In 1996, he set up Illumine in the form of a design and action research lab
From 2004 to 2010, experimented with how knowledge can be used as a catalyst for creating sustainable growth/evolution in human systems
2010 - 2017, worked on various large-scale assimilation & change projects in both business and educational contexts
Since 2017, Srinivas has also been engaged in reflecting on the extensive learnings of this period, organizing and systematizing his work into a form that is more widely accessible.

Bessel van der Kolk
ChercheurBessel van der Kolk, né en 1943, psychiatre et chercheur de renommée internationale, est l’un des pionniers dans la compréhension du traumatisme psychique à la croisée des neurosciences, de la psychologie et de la thérapie corporelle. Auteur du livre incontournable « Le Corps n’oublie rien » (The Body Keeps the Score), il a démontré que les traumatismes s’ancrent profondément dans le système nerveux autonome, affectant la perception, le comportement et même l’identité corporelle. Refusant les approches purement cognitives, il plaide pour une guérison incarnée, où le corps devient un levier central de résilience.
Dans ce cadre, le yoga occupe une place essentielle dans ses recherches et recommandations cliniques : loin d’être une simple activité de bien-être, il est présenté comme un outil thérapeutique validé scientifiquement pour restaurer la régulation émotionnelle, l’interoception (la conscience du corps depuis l’intérieur), et la sécurité somatique. Des études menées sous sa direction ont mis en évidence que la pratique régulière du yoga permet de réduire significativement les symptômes de stress post-traumatique, mieux que certaines approches médicamenteuses. Pour van der Kolk, le yoga — compris comme une pratique d’attention au souffle, au mouvement et à la présence — est une passerelle puissante entre neurosciences, sagesse ancienne et transformation intérieure.
Dans ce cadre, le yoga occupe une place essentielle dans ses recherches et recommandations cliniques : loin d’être une simple activité de bien-être, il est présenté comme un outil thérapeutique validé scientifiquement pour restaurer la régulation émotionnelle, l’interoception (la conscience du corps depuis l’intérieur), et la sécurité somatique. Des études menées sous sa direction ont mis en évidence que la pratique régulière du yoga permet de réduire significativement les symptômes de stress post-traumatique, mieux que certaines approches médicamenteuses. Pour van der Kolk, le yoga — compris comme une pratique d’attention au souffle, au mouvement et à la présence — est une passerelle puissante entre neurosciences, sagesse ancienne et transformation intérieure.

Daniel Siegel
ChercheurDaniel J. Siegel, médecin, psychiatre et professeur à la UCLA School of Medicine, est l’un des pionniers de la neurobiologie interpersonnelle, un champ qui explore comment les relations humaines façonnent le cerveau et l’esprit. Auteur d’ouvrages majeurs tels que « The Whole-Brain Child », « Mindsight » ou « Aware », il a ouvert un nouveau dialogue entre la science du cerveau, la psychologie du développement, et les pratiques contemplatives. Son travail met en lumière l’importance de la présence consciente, de la régulation émotionnelle et de la cohérence intégrative pour favoriser le bien-être individuel et collectif.
Dans ses recherches et interventions, Daniel Siegel reconnaît pleinement la valeur des pratiques corps-esprit comme la pleine conscience (mindfulness), ou encore les approches somatiques. Il explique comment ces pratiques activent des circuits cérébraux liés à l’attention, à l’empathie, et à la résilience. Pour lui, ces disciplines ne sont pas accessoires : elles représentent des outils puissants pour favoriser l’intégration, c’est-à-dire l’harmonisation entre les différentes régions du cerveau et entre le cerveau, le corps et l’environnement social.
Dans ses recherches et interventions, Daniel Siegel reconnaît pleinement la valeur des pratiques corps-esprit comme la pleine conscience (mindfulness), ou encore les approches somatiques. Il explique comment ces pratiques activent des circuits cérébraux liés à l’attention, à l’empathie, et à la résilience. Pour lui, ces disciplines ne sont pas accessoires : elles représentent des outils puissants pour favoriser l’intégration, c’est-à-dire l’harmonisation entre les différentes régions du cerveau et entre le cerveau, le corps et l’environnement social.
Son concept de “mindsight” — la capacité à percevoir l’esprit de soi et des autres — constitue une passerelle essentielle entre neurosciences, éducation, thérapie, et conscience élargie